Tsai Ming Ling
Je l'avais découvert en 1998 avec The Hole, un film torturé et inquiétant. il a une filmographie des plus déconcertante. Ce Taïwannais continue de tracer un chemin particulier, entre le fantastique et l'horreur, entre le cinéma intellectuel et le genre populaire... Et rien ne remplace un autographe calligraphié par un maître de l'étrange !