Bocca Samba s’inscrit dans un contexte d’animations et de vie «festive» du quartier de La Bocca (comprenant Ranguin et La Frayère) sur l’été 2015, avec une déclinaison possible en 2016 qui verra se dérouler les Jeux Olympiques à Rio de Janeiro ou l’espoir de médailles de nos sportifs peut susciter un élan et un enthousiasme de la population Française... Mais il s’agit bien de lancer cette opération en 2015 et ensuite d’en faire le bilan avant d’imaginer toute suite !
L’objectif est de s’inscrire dans la dynamique lancée par le Maire de Cannes autour d’un pôle, BoccaCabana, et de renouveler et de casser l’image parfois vieillotte de l’animation de La Bocca qui ne répond plus aux attentes des Boccassiens, ni a ceux des touristes étrangers, présents en grand nombre grâce à Pierres et Vacances, Cannes Beach Résidence et autres lieux de résidences.
L e projet est, sur les mois de juillet et d’août, de donner une véritable «couleur» à La Bocca en déclinant tous les vecteurs de la vie économique, culturelle et sportive autour du thème (large) du Brésil.
Vendredi 22 janvier, 19 h, Marseille, La Canebière...
C’est parti pour la première ronde officielle du jeu «Le Cinéphile» sous l’égide du Conseil Régional PACA. 40 joueurs sont réunis dans une salle de la Maison de la Région et vont en découdre autour de leurs connaissances du Cinéma... Tout a commencé pour moi il y a un an, mais pour Luc Michel Tolédano, cela fait des années qu’il se prépare à cet évènement. Fatigué d’entendre éternellement dans les discussions de repas, des interrogations du type, «Quel est le réalisateur de ce film déjà ?» ou «Et le nom de cette actrice, c’est quoi au fait ?», il s’attelle à la tâche de composer des fiches, et de fiches en aiguilles, il constitue une bibliothèque colossale de savoir, une somme de connaissances qu’il emmagasine par passion, par plaisir !
"Battles in the Sky" est un nouveau concept de feux d’artifices, une révolution dans la façon de tirer un feu et d’aborder la compétition d’un Festival Pyrotechnique classique !
Révolution, car pour la première fois, la conception du feu est mesurable, observable, palpable avec deux adversaires présents physiquement qui vont s’affronter dans les mêmes conditions techniques, atmosphériques, devant un même public. Révolution, car le public présent sur le lieu du festival sera en situation interactive, va influer sur la compétition, décider «réellement» de donner ou non la possibilité de l’emporter à un des adversaires et pas à l’autre, pour continuer dans la compétition et aller vers le trophée final.
Créé il y a 38 ans par Gabriel Tacchino, un pianiste talentueux enfant de la Ville, ce Festival de Musique Classique offre un lieu incomparable aux mélomanes. Adossé au fronton de l’église du Suquet, cette colline qui domine le Vieux Port de Cannes, entre les remparts crénelés, dans la quiétude du soir tombant, une arène de 600 places permet au public d’écouter les plus beaux ensembles et les artistes les plus talentueux de la nouvelle génération. Depuis juillet 2011, j’ai en charge la programmation artistique du Festival avec la mission de rendre à la musique classique toute sa modernité et son originalité. Que ce soit dans la personnalité des interprètes (Laurent Korcia, Nigel Kennedy...), dans la conception de projets originaux (Hommage à Camus, Mozart avec projections...) ou dans les passerelles tendues avec d’autres arts (William Sheller, Grand Corps Malade...) le Festival veut renouer avec un public plus large, trouver un nouveau souffle et s’ouvrir à l’ère contemporaine. On peut être moderne et aimer le classique, on peut être classique et s’ouvrir à la modernité !
Le jeu sous toutes ses formes se décline à l’infini depuis l’aube des temps. Il touche toutes les catégories sociales, traverse les âges, ignore les sexes, se dissémine dans tous les recoins de l’univers, n’a pas besoin d’une langue, permet la plus grande des convivialités comme la transcendance individuelle la plus extrême… Le jeu peut se nourrir d’argent comme s’enrichir de la gratuité d’un geste. Il est un vecteur de rencontres, une façon de lutter contre le temps, un mode d’apprentissage des règles, une forme sophistiquée et concrète de l’idéal d’une société en mouvement s’efforçant de vivre ensemble dans les différences de ses composantes. C’est un facteur d’intégration et de valorisation de l’individu. Depuis la fin du XXe siècle, du temps s’est libéré pour toutes les catégories de la société. Les jeunes vivent plus longtemps détachés des contraintes de la recherche d’un travail (allongement du temps des études, vie sous le toit des parents). L’allongement de la durée de la vie moyenne, avec un corollaire des « têtes grises » en meilleure forme et investissant dans la vie des loisirs avec un pouvoir d’achat sans commune mesure avec leurs prédécesseurs. Les adultes investissent des secteurs d’activité qui resocialisent les individus confrontés à l’individualisme de la société moderne que ce soit dans le sport, le spectacle ou les jeux. L’activité autour du monde des jeux devient dans le contexte de la crise actuelle, une activité « niche » porteuse de dynamisme économique. Le tourisme s’appuie sur cette capacité de déplacements, sur des coûts de transports qui ont chuté et démocratise les voyages. Les jeux produisent de l’image et valorisent l’esprit d’une compétition loyale, le respect des règles et le dépassement de soi. L’industrie du jeu, pour étroite qu’elle soit en tant que telle, s’appuie sur des secteurs particulièrement dynamiques. Les enjeux colossaux de la création des jeux vidéos, dont Montréal est une des bases, en est un exemple. L’explosion du Jeu de Poker à la télévision et dans les casinos un autre. Les États qui ont créé des monopoles autour des jeux d’hasard et des paris sont une autre facette de cette capacité qu’au jeu de drainer des sommes conséquentes. Et que penser à l’évocation de noms de villes comme Macao, Monaco, Las Vegas, Atlantic City, Cannes… Le jeu n’est pas seulement une fuite du temps, c’est aussi une façon bien concrète de vivre le présent !